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9 septembre 2006 6 09 /09 /septembre /2006 07:44

De retour sur overblog où je ne poste presque plus, vu le manque d'espace pour les photos, je m'aperçois que je ne vous ai jamais présenté mon blog Simettes sous influence. Un nouveau challenge de ma composition qui met en lice cinq couples entre eux. Le principe du challenge : créer 5 simettes aspiration famille et 5 Sims célibataires dont une barre de personnalité doit être totalement vide. Les faire se rencontrer, se marier, avoir des enfants et organiser des mariages entre ces enfants.
Cette série a actuellement ses afficionados et est en passe de détrôner Max Dubagne. Vous la trouverez ici

Autre nouveauté : Depuis toujours, enfin, depuis que je possède le jeu, j'ai toujours adoré construire et décorer des maisons pour mes Sims. Jusqu'à présent, je n'avais pas trouvé le moyen de les rendre disponibles en téléchargement. C'est maintenant chose faite via ma Simpage sur le site officiel anglais. Pour avoir une vue plus complète de ces maisons (trois photos, c'est peu) rendez-vous sur Maisons & Déco Sims2
http://decosims2.canalblog.com/

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8 avril 2006 6 08 /04 /avril /2006 16:56

Si chez les Pipelette la maison et son ameublement respiraient le confort conventionnel et le m’as-tu-vu bon marché, que dire de l’environnement des Lapoisse ?

Un père abonné au chômage, trois enfants sur les bras, les traites d’une maison bas de gamme en accession à la propriété sur les reins… autant dire que l’argent ne coulait pas à flot chez Gérard et Zézette Lapoisse.

Lui : Gérard Lapoisse, grand fainéant devant l’éternel. Inconditionnel supporter de l’équipe de foot de Simcity, adorant le sport en pantoufles devant la télé et la troisième mi-temps au bar des sports avec les copains. Fort en gueule et bon à rien.

 

 

 Elle : Zézette Lapoisse, nerveuse et courageuse, vivant au rythme des ragots de Simeccita, les studios de cinéma, et shootée aux Feux de la passion « son » feuilleton.

  

Les Enfants :
Bruno : l'aîné, pas bête et porté sur les arts, mais que son père a inscrit de force à l'école de foot.
Magalie : la fille, qui rêve de devenir une vedette du show-bizz et se gargarise des revues ramenées par sa mère.
Jean-Eudes : le petit dernier, qui a bien failli s'appeler Zinedine, si Zézette n'avait insisté pour lui donner le prénom du héros du dernier roman-fleuve à la mode.

Chez les Lapoisse, un ameublement tout ce qu’il y a de plus ringard, le mauvais goût sévit partout : dans le choix des tapisseries et des tableaux, des nains de jardin aux meubles de cuisine en formica, avec l’indispensable machine à laver et le linge en attente de repassage.

Trois enfants, ça fait de la lessive !    

 

 

 

 

Ci-dessous, le salon des Lapoisse, lieu de rassemblement autour de l'indispensable télévision couleur,cause de bien des discussions quand il s'agit de choisir entre le match de foot et le feuilleton de Zézette. Notons au passage le pack de bières sur la desserte en simili acajou et la magnifique bibliothèque en aggloméré plaqué teck. C'est d'un kitch ! 

         

 

 

 

 

 

 
Zézette ne désespère pas de pouvoir s’offrir un jour  le tableau phosphorescent où par un jeu de savants éclairages on jurerait voir couler l’eau de la fontaine.

 Pénétrons à présent dans le saint des saints, la salle à manger "du dimanche". Pas question d'y manger un jour de semaine. D'ailleurs, entre le linge frais repassé, les jeux de sociétés des gosses, le cendrier de Gérard et la machine à café, il n'y a pas de place pour une assiette. Magalie s'entraîne pour sa future carrière de chanteuse au son d'un pick-up nasillard, posé sur un meuble-vitrine en vernis polyester où trône la "belle vaisselle" qui ne sert jamais, non-mais ! Elle est juste là pour faire joli.

 

 

Je suis sûre que vous mourriez d'envie de voir l'autre côté de la salle, avec la fausse cheminée et les buches en plastique qu'on allume quand il y a des invités. Ben voilà !

 

 


Ah-ah, la chambre des parents. J'ai craqué pour le couvre-lit en nylon vert-pomme, si bien assorti à la tapisserie style années 70. Avouez qu'elle a de l'allure ! Il faut dire que pour le ringard, il n'y a que l'embarras du choix chez Maxis.

 

 

 

A droite,  la chambre de Bruno, celle d'un futur champion de foot.




  A gauche, la chambre de Magalie, digne d'une future star du show-bizz.

Vous avez remarqué que les Lapoisse ont une bonne ? Ca c'est depuis que Zézette s'est mis en tête de travailler et qu'elle a pris du galon chez Mac'Sims où elle supervise la confection des hamburgers.


Maintenant que vous avez fait connaissance avec toute la petite famille, peut-être aimeriez-vous savoir où ils vont quand ils ne sont pas chez eux ?
Nan ? Tant pis, je vous le montre quand même !

Les enfants, sans grande surprise, se rendent à l'école communale que dirige Gina Chachat.

 

 

 

 

 

 

Là vous pouvez voir la salle de classe et le réfectoire.


Quand Gérard n'est pas rentré, Zézette n'a pas à le chercher bien loin...

C'est qu'il est encore fourré au Bar des Sports, son quartier général, ce bon à rien !

 

Et bien avant la sortie de la Bonne Affaire, Zézette avait déjà fait connaissance avec
le salon de coiffure

Et le magasin de jouets.

  

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30 mars 2006 4 30 /03 /mars /2006 11:53

Bienvenue chez la commère et l'alcool... hic !

Est-ce un hasard ou  aurais-je une affection toute particulière pour les personnes âgées ?
Ma première famille en Sims1 était celle d’un couple de retraités : Roland et Germaine Piplette et c’est aussi une retraitée Ernestine Lavioque qui allait inaugurer mes chroniques en Sims2. C’est grave docteur ?


Germaine et Roland Pipelette, approchaient de l'âge de la retraite. Ils vivaient dans une petite maison située dans la banlieue de Simcity. Une salle à manger/cuisine, une chambre et une salle de bain avec un potager et une dépendance qui abritait la cave et l’atelier. C’était rudement pratique pour Roland, gendarme de son état, que sa femme tarabustait pour qu’il devienne commissaire. Il n’avait qu’un pas à faire pour aller goûter son vin. Et il allait le goûter plus souvent qu’à son tour, prétextant toujours qu’il avait des nains de jardin à terminer.


La cave de Roland, c’était quelque chose ! Bien rangée, les bouteilles bien alignées, le goupillon et le tire-bouchon à portée de main… étonnez vous qu’après ça il succombe à la tentation.
Surtout quand il avait des promotions à arroser.

 

 

 A part son penchant pour la bouteille, Roland c’était pas le mauvais gars, plutôt taciturne… grumpf, humpf, c’était à peu près tout ce qu’il trouvait à répondre à sa femme pour éviter les histoires. La plupart du temps, il n’écoutait même pas ce qu’elle racontait, et elle parlait, elle parlait… avec elle, toute les familles du quartier étaient habillées pour l’hiver car elle mettait un point d’honneur à être la première à colporter les ragots.


Comme style d’ameublement, je leur avais choisi le genre catalogue Conforama pour les fauchés qui aiment le rustique et espèrent faire croire que  leurs meubles en contre-plaqué peuvent passer pour du massif. Pas de goût, et pourtant sûrs d’en avoir. Des petits tapis partout pour pas salir…


 

Un salon en skaï qu’on jurerait du vrai cuir vu de loin, mais qui fait froid aux fesses l’hiver et chaud l’été. Une vieille télé des années 60 (s’agit pas de gaspiller, tant que ça marche !)



Dans la chambre c’était le grand luxe ! Style regency ma chère, genre dans les plus chers du catalogue. Ca sentait le presque commissaire, c’était cossu et confortable. Avec toujours des petits tapis, et il manquait plus que les patins.


Tous les jours, Germaine qui n’avait eu qu’une unique fille allait parler à son portrait en guise de prière à Ste Marguerite. Car sa fille était allée s’enterrer au fin fond de la cambrousse depuis son mariage et elle ne la voyait que rarement.


Et ça c’est la cuisine intégrée à Germaine, ça madame ! Du fait-maison bricolé par Roland. Il a acheté les planches en kit à Leroy-Merlin, et il a tout coordonné, jusqu’au vide-ordures !



 

 

Tous les jours, Germaine s’empressait d’expédier son petit ménage. Elle ne voulait surtout pas de bonne ! Les bonnes, c’était bon pour les fainéantes, comme sa belle sœur Zézette Lapoisse. Une femme qui se respecte sait tenir sa maison elle-même, a-t-elle besoin d'aller travailler à l'extérieur ? Une femme qui se respecte doit tenir sa maison elle-même, ah-mais !


                         

Et puis elle allait chercher le journal pour être la première informée des nouvelles du quartier et enfin elle s’installait sur un fauteuil, près de la fenêtre à guetter le passant pour pouvoir lui déballer tout ce qu’elle avait appris dedans. Journal et Téléphone, c’était comme qui dirait, les deux mamelles de Germaine.



-Roland, t'as lu ça ? Paulette Nouvot est revenue en ville avec son gigolo
-Humpf !

Ainsi s'écoulaient les jours chez les Pipelette. Elle était pas gâtée Germaine avec son Roland pour la causette. Heureusement, heureusement... elle n'était pas cloîtrée chez elle, et elle allait rendre visite aux voisins, elle se promenait en ville, elle était au courant de tout, et grâce à elle les lecteurs aussi.

 

Enfin, ça c'était ce que j'avais prévu : Faire de la famille Pipelette les rapporteurs des nouvelles du quartier, celle qui annoncerait les mises à jour, grâce à laquelle les lecteurs auraient su qu'il se passait quelque chose quelque part. Mais le système a semblé un peu compliqué, et je ne suis pas sûre qu'il ait été compris.




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29 mars 2006 3 29 /03 /mars /2006 12:21
Les Sims, je suis tombée dedans quand j’était toute petite…
Ben-non ! Mais j’aurais bien aimé. Quand j’étais enfant, hélas, point de Sims, point d’ordinateur, même pas de télé, vous imaginez !
Des poupées… ça des poupées, on peut dire que je n’en manquais pas. Ma mère qui en avait été privée ne savait pas résister aux poupées. Sauf que c’est elle qui les choisissait, et que mes poupées j’en avais vite fait le tour.
Alors j’avais inventé un jeu qui ne coûtait rien et qui me permettait de faire vivre mes personnages. Je découpais dans « Modes et travaux » des hommes, des femmes et des enfants, et dans des catalogues tout l’ameublement que je pouvais y trouver, puis sur le carrelage de ma chambre je construisais une maison imaginaire. Ah-ha ! Un carreau = Une pièce. Si seulement les enfants d’aujourd’hui n’étaient pas plus exigeants !
Mais, hé mémé, aujourd’hui, il y a les Sims, alors, pourquoi se priver ?

J’avais déjà passé la quarantaine quand mon mari a ramené le premier ordinateur à la maison. Autant vous dire que je trouvais ça tout à fait inutile. Soit-disant que j’allais pouvoir y tenir mes comptes. Je ne les tiens déjà pas avec un crayon, vous pensez si j’allais m’y mettre !
A cette époque, les jeux sur ordinateur… une balle à se renvoyer entre deux barres, ping…… pong !
Ah-mais faut pas croire, on pouvait varier la vitesse !
Et puis sont apparus des jeux un peu plus élaborés, mais rien de fracassant, Pac-man, le casse-brique… Jusqu’à Little People Computer. Là c’était un peu plus intéressant, il fallait faire vivre un petit bonhomme, il prenait sa douche, faisait de la gym, mangeait et devait penser à nourrir son chien ou son chat.Je trouvais assez nul qu’il ne puisse rencontrer personne, même le livreur demeurait désespérement invisible.

Les années passent, mes enfants grandissent, et ils ont le virus ordinateur comme leur père. Avec eux, je découvre de nouveaux jeux, l’informatique est en progrès. Ils jouent à SimCity première version, aux Lemmings, aux courses de voitures et moi, je joue avec eux en pestant parce qu’ils sont toujours dessus, et que ça ne me laisse pas beaucoup de temps. Alors, je saute le pas, et je m’offre mon premier ordinateur… d’occasion.
Oui-bon, l’ordinateur, j’en avais également besoin pour mon travail. J’ai appris assez rapidement à me servir d’un traitement de texte et j’ai commencé à acheter des jeux pour moi. Je ne me suis pas précipitée sur les Sims, j’ai bien dû attendre un an. Les photos ne m’inspiraient pas, on aurait dit que les personnages étaient taillés à coup de hache. Je leur préférais César III ou les nouvelles versions de SimCity, ou encore la série des Ages of Empire. Jusqu’au jour où j’ai décidé d’essayer les Sims pour voir.
 
Essayer les Sims, c’est les adopter. Pour eux, je me suis fendue d’un nouvel ordinateur, de barrettes de mémoire supplémentaires au fur et à mesure qu’il y avait de nouveaux add-on. J’étais devenue Sims-addict, comme dit ma fille. Au tout début, comme beaucoup de joueurs, j’imagine, j’ai recréé ma petite famille, mes voisins, mes amis… mais j’ai rapidement considéré que c’était une erreur. La charge émotionnelle était trop forte. Alors, je me suis mise à créer des personnages inventés de toutes pièces. Et la plupart de ces personnages possédait un caractère bien trempé, pour ne pas dire un sale caractère. Je me demande à quoi ça tient !
Quand, par hasard ils n’avaient pas un sale caractère, ils étaient cousus de défauts ou de vices. J’en ai rempli tout un quartier, et je me suis mise à écrire des histoires rien que pour moi. Des histoires de quartier, où ça se jalousait, ça se trompait, ça cancannait… comme dans la vie, quoi !

A l’époque des Sims1, j’ai passé des heures et des heures à télécharger des éléments afin de réaliser des décors approchant la réalité. Mes retraités, par exemple, avaient des maisons de retraités avec des meubles ringards qui dataient de leur jeunesse, des nains de jardin que pépère fabriquait dans son atelier, des fleurs que mémère prenait le soin d’arroser, un chat, des poissons rouges et des canaris… Mais… j’y pense, j’ai des photos de cette période.

      

C’est le moment où j’ai commencé à écrire des chroniques sur le site officiel des Sims. Tout le monde ne parlait plus que des Sims2, que mon ordinateur ne pouvait pas encaisser, et moi, je débarquais avec mes Sims1. Toujours un train de retard ! Ah-mais, c’est que c’est dur à faire évoluer, les vieux !
 
N’empêche, je les aimais bien, mes petits Sims. Je m’étais promis d’y revenir, même après avoir goûté aux Sims2. Promesse d’ivrogne, dirait Roland… comment, vous ne connaissez pas Roland ? Roland et Germaine Pipelette, la commère et l’alcool... hic, ma première chronique. Tsst, tsst, quelle lacune ! Rassurez-vous, je ne vous referai pas l’histoire, surtout que je ne l’ai jamais finie. Mais si vous avez du temps à perdre, je me propose de vous faire une petite présentation de mes personnages de l’époque et des décors que je leur avais créés. En tous cas, ça me fera des souvenirs, parce que d’ici qu’un jour j’efface tous ces débuts de chroniques…
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6 janvier 2006 5 06 /01 /janvier /2006 15:03

Carnet rose chez les Dubagne, Ophélie, 1ère représentante de la 8ème génération fait son apparition dans des circonstances par ailleurs dramatiques. Ne manquez pas ce nouvel épisode de votre feuilleton interminable : Ma Dubagne et le legacy challenge.

Vous trouverez la mise à jour en page 2 de la rubrique, j'ai laissé celle d'hier en première page pour les retardataires. Bonne lecture !

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7 décembre 2005 3 07 /12 /décembre /2005 12:50

Après une série de bugs, j'ai enfin pu reprendre le fil de mes histoires. Et donc, pour aujourd'hui, une mise à jour chez Max Dubagne. Rigel saute le pas et entre à l'université.


19. Ah l'université.

Pendant ce temps, les Krétins, s'appêtent à passer un beau dimanche ensoleillé.


14. Le beau dimanche

Et pour faire bonne mesure, une nouvelle histoire dans la catégorie Autres concours. Celle de Matthias Grantorgueil aux prises avec trois bambins, d'après un challenge que j'ai découvert sur le site d'Esse :
le challenge du parent célibataire. Vous pourrez lire sa traduction des règles sur son site.


1. Trois bébés sur les bras.

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3 novembre 2005 4 03 /11 /novembre /2005 00:00

10 novembre 2005 : Encore des Krétins au chapitre 7. J'ai plusieurs mises à jour d'avance, après, je me remets au legacy challenge. Hamon se dévergonde, et comment !

8 novembre 2005 : Aujourd'hui, la suite des mésaventures d'Hamon Krétin avec Brenda Letourneau, sa voisine commencées au chapitre 5. A lire au chapitre 6 des Krétins : Les mauvais coucheurs.

4 novembre 2005 : J'ai changé le design du blog, ça devrait faire plaisir à Max. N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez. J'ai également mis à jour ma page de liens et inséré un nouveau lien dans mes trouvailles. Mais... pas de nouvel article.

 

Aujourd'hui, page 13, la suite du legacy challenge de Max Dubagne et un nouvel épisode des Krétins page 5. Bonne lecture.

 

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