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9 septembre 2006 6 09 /09 /septembre /2006 07:44

De retour sur overblog où je ne poste presque plus, vu le manque d'espace pour les photos, je m'aperçois que je ne vous ai jamais présenté mon blog Simettes sous influence. Un nouveau challenge de ma composition qui met en lice cinq couples entre eux. Le principe du challenge : créer 5 simettes aspiration famille et 5 Sims célibataires dont une barre de personnalité doit être totalement vide. Les faire se rencontrer, se marier, avoir des enfants et organiser des mariages entre ces enfants.
Cette série a actuellement ses afficionados et est en passe de détrôner Max Dubagne. Vous la trouverez ici

Autre nouveauté : Depuis toujours, enfin, depuis que je possède le jeu, j'ai toujours adoré construire et décorer des maisons pour mes Sims. Jusqu'à présent, je n'avais pas trouvé le moyen de les rendre disponibles en téléchargement. C'est maintenant chose faite via ma Simpage sur le site officiel anglais. Pour avoir une vue plus complète de ces maisons (trois photos, c'est peu) rendez-vous sur Maisons & Déco Sims2
http://decosims2.canalblog.com/

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8 avril 2006 6 08 /04 /avril /2006 16:56

Si chez les Pipelette la maison et son ameublement respiraient le confort conventionnel et le m’as-tu-vu bon marché, que dire de l’environnement des Lapoisse ?

Un père abonné au chômage, trois enfants sur les bras, les traites d’une maison bas de gamme en accession à la propriété sur les reins… autant dire que l’argent ne coulait pas à flot chez Gérard et Zézette Lapoisse.

Lui : Gérard Lapoisse, grand fainéant devant l’éternel. Inconditionnel supporter de l’équipe de foot de Simcity, adorant le sport en pantoufles devant la télé et la troisième mi-temps au bar des sports avec les copains. Fort en gueule et bon à rien.

 

 

 Elle : Zézette Lapoisse, nerveuse et courageuse, vivant au rythme des ragots de Simeccita, les studios de cinéma, et shootée aux Feux de la passion « son » feuilleton.

  

Les Enfants :
Bruno : l'aîné, pas bête et porté sur les arts, mais que son père a inscrit de force à l'école de foot.
Magalie : la fille, qui rêve de devenir une vedette du show-bizz et se gargarise des revues ramenées par sa mère.
Jean-Eudes : le petit dernier, qui a bien failli s'appeler Zinedine, si Zézette n'avait insisté pour lui donner le prénom du héros du dernier roman-fleuve à la mode.

Chez les Lapoisse, un ameublement tout ce qu’il y a de plus ringard, le mauvais goût sévit partout : dans le choix des tapisseries et des tableaux, des nains de jardin aux meubles de cuisine en formica, avec l’indispensable machine à laver et le linge en attente de repassage.

Trois enfants, ça fait de la lessive !    

 

 

 

 

Ci-dessous, le salon des Lapoisse, lieu de rassemblement autour de l'indispensable télévision couleur,cause de bien des discussions quand il s'agit de choisir entre le match de foot et le feuilleton de Zézette. Notons au passage le pack de bières sur la desserte en simili acajou et la magnifique bibliothèque en aggloméré plaqué teck. C'est d'un kitch ! 

         

 

 

 

 

 

 
Zézette ne désespère pas de pouvoir s’offrir un jour  le tableau phosphorescent où par un jeu de savants éclairages on jurerait voir couler l’eau de la fontaine.

 Pénétrons à présent dans le saint des saints, la salle à manger "du dimanche". Pas question d'y manger un jour de semaine. D'ailleurs, entre le linge frais repassé, les jeux de sociétés des gosses, le cendrier de Gérard et la machine à café, il n'y a pas de place pour une assiette. Magalie s'entraîne pour sa future carrière de chanteuse au son d'un pick-up nasillard, posé sur un meuble-vitrine en vernis polyester où trône la "belle vaisselle" qui ne sert jamais, non-mais ! Elle est juste là pour faire joli.

 

 

Je suis sûre que vous mourriez d'envie de voir l'autre côté de la salle, avec la fausse cheminée et les buches en plastique qu'on allume quand il y a des invités. Ben voilà !

 

 


Ah-ah, la chambre des parents. J'ai craqué pour le couvre-lit en nylon vert-pomme, si bien assorti à la tapisserie style années 70. Avouez qu'elle a de l'allure ! Il faut dire que pour le ringard, il n'y a que l'embarras du choix chez Maxis.

 

 

 

A droite,  la chambre de Bruno, celle d'un futur champion de foot.




  A gauche, la chambre de Magalie, digne d'une future star du show-bizz.

Vous avez remarqué que les Lapoisse ont une bonne ? Ca c'est depuis que Zézette s'est mis en tête de travailler et qu'elle a pris du galon chez Mac'Sims où elle supervise la confection des hamburgers.


Maintenant que vous avez fait connaissance avec toute la petite famille, peut-être aimeriez-vous savoir où ils vont quand ils ne sont pas chez eux ?
Nan ? Tant pis, je vous le montre quand même !

Les enfants, sans grande surprise, se rendent à l'école communale que dirige Gina Chachat.

 

 

 

 

 

 

Là vous pouvez voir la salle de classe et le réfectoire.


Quand Gérard n'est pas rentré, Zézette n'a pas à le chercher bien loin...

C'est qu'il est encore fourré au Bar des Sports, son quartier général, ce bon à rien !

 

Et bien avant la sortie de la Bonne Affaire, Zézette avait déjà fait connaissance avec
le salon de coiffure

Et le magasin de jouets.

  

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30 mars 2006 4 30 /03 /mars /2006 11:53

Bienvenue chez la commère et l'alcool... hic !

Est-ce un hasard ou  aurais-je une affection toute particulière pour les personnes âgées ?
Ma première famille en Sims1 était celle d’un couple de retraités : Roland et Germaine Piplette et c’est aussi une retraitée Ernestine Lavioque qui allait inaugurer mes chroniques en Sims2. C’est grave docteur ?


Germaine et Roland Pipelette, approchaient de l'âge de la retraite. Ils vivaient dans une petite maison située dans la banlieue de Simcity. Une salle à manger/cuisine, une chambre et une salle de bain avec un potager et une dépendance qui abritait la cave et l’atelier. C’était rudement pratique pour Roland, gendarme de son état, que sa femme tarabustait pour qu’il devienne commissaire. Il n’avait qu’un pas à faire pour aller goûter son vin. Et il allait le goûter plus souvent qu’à son tour, prétextant toujours qu’il avait des nains de jardin à terminer.


La cave de Roland, c’était quelque chose ! Bien rangée, les bouteilles bien alignées, le goupillon et le tire-bouchon à portée de main… étonnez vous qu’après ça il succombe à la tentation.
Surtout quand il avait des promotions à arroser.

 

 

 A part son penchant pour la bouteille, Roland c’était pas le mauvais gars, plutôt taciturne… grumpf, humpf, c’était à peu près tout ce qu’il trouvait à répondre à sa femme pour éviter les histoires. La plupart du temps, il n’écoutait même pas ce qu’elle racontait, et elle parlait, elle parlait… avec elle, toute les familles du quartier étaient habillées pour l’hiver car elle mettait un point d’honneur à être la première à colporter les ragots.


Comme style d’ameublement, je leur avais choisi le genre catalogue Conforama pour les fauchés qui aiment le rustique et espèrent faire croire que  leurs meubles en contre-plaqué peuvent passer pour du massif. Pas de goût, et pourtant sûrs d’en avoir. Des petits tapis partout pour pas salir…


 

Un salon en skaï qu’on jurerait du vrai cuir vu de loin, mais qui fait froid aux fesses l’hiver et chaud l’été. Une vieille télé des années 60 (s’agit pas de gaspiller, tant que ça marche !)



Dans la chambre c’était le grand luxe ! Style regency ma chère, genre dans les plus chers du catalogue. Ca sentait le presque commissaire, c’était cossu et confortable. Avec toujours des petits tapis, et il manquait plus que les patins.


Tous les jours, Germaine qui n’avait eu qu’une unique fille allait parler à son portrait en guise de prière à Ste Marguerite. Car sa fille était allée s’enterrer au fin fond de la cambrousse depuis son mariage et elle ne la voyait que rarement.


Et ça c’est la cuisine intégrée à Germaine, ça madame ! Du fait-maison bricolé par Roland. Il a acheté les planches en kit à Leroy-Merlin, et il a tout coordonné, jusqu’au vide-ordures !



 

 

Tous les jours, Germaine s’empressait d’expédier son petit ménage. Elle ne voulait surtout pas de bonne ! Les bonnes, c’était bon pour les fainéantes, comme sa belle sœur Zézette Lapoisse. Une femme qui se respecte sait tenir sa maison elle-même, a-t-elle besoin d'aller travailler à l'extérieur ? Une femme qui se respecte doit tenir sa maison elle-même, ah-mais !


                         

Et puis elle allait chercher le journal pour être la première informée des nouvelles du quartier et enfin elle s’installait sur un fauteuil, près de la fenêtre à guetter le passant pour pouvoir lui déballer tout ce qu’elle avait appris dedans. Journal et Téléphone, c’était comme qui dirait, les deux mamelles de Germaine.



-Roland, t'as lu ça ? Paulette Nouvot est revenue en ville avec son gigolo
-Humpf !

Ainsi s'écoulaient les jours chez les Pipelette. Elle était pas gâtée Germaine avec son Roland pour la causette. Heureusement, heureusement... elle n'était pas cloîtrée chez elle, et elle allait rendre visite aux voisins, elle se promenait en ville, elle était au courant de tout, et grâce à elle les lecteurs aussi.

 

Enfin, ça c'était ce que j'avais prévu : Faire de la famille Pipelette les rapporteurs des nouvelles du quartier, celle qui annoncerait les mises à jour, grâce à laquelle les lecteurs auraient su qu'il se passait quelque chose quelque part. Mais le système a semblé un peu compliqué, et je ne suis pas sûre qu'il ait été compris.




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29 mars 2006 3 29 /03 /mars /2006 12:21
Les Sims, je suis tombée dedans quand j’était toute petite…
Ben-non ! Mais j’aurais bien aimé. Quand j’étais enfant, hélas, point de Sims, point d’ordinateur, même pas de télé, vous imaginez !
Des poupées… ça des poupées, on peut dire que je n’en manquais pas. Ma mère qui en avait été privée ne savait pas résister aux poupées. Sauf que c’est elle qui les choisissait, et que mes poupées j’en avais vite fait le tour.
Alors j’avais inventé un jeu qui ne coûtait rien et qui me permettait de faire vivre mes personnages. Je découpais dans « Modes et travaux » des hommes, des femmes et des enfants, et dans des catalogues tout l’ameublement que je pouvais y trouver, puis sur le carrelage de ma chambre je construisais une maison imaginaire. Ah-ha ! Un carreau = Une pièce. Si seulement les enfants d’aujourd’hui n’étaient pas plus exigeants !
Mais, hé mémé, aujourd’hui, il y a les Sims, alors, pourquoi se priver ?

J’avais déjà passé la quarantaine quand mon mari a ramené le premier ordinateur à la maison. Autant vous dire que je trouvais ça tout à fait inutile. Soit-disant que j’allais pouvoir y tenir mes comptes. Je ne les tiens déjà pas avec un crayon, vous pensez si j’allais m’y mettre !
A cette époque, les jeux sur ordinateur… une balle à se renvoyer entre deux barres, ping…… pong !
Ah-mais faut pas croire, on pouvait varier la vitesse !
Et puis sont apparus des jeux un peu plus élaborés, mais rien de fracassant, Pac-man, le casse-brique… Jusqu’à Little People Computer. Là c’était un peu plus intéressant, il fallait faire vivre un petit bonhomme, il prenait sa douche, faisait de la gym, mangeait et devait penser à nourrir son chien ou son chat.Je trouvais assez nul qu’il ne puisse rencontrer personne, même le livreur demeurait désespérement invisible.

Les années passent, mes enfants grandissent, et ils ont le virus ordinateur comme leur père. Avec eux, je découvre de nouveaux jeux, l’informatique est en progrès. Ils jouent à SimCity première version, aux Lemmings, aux courses de voitures et moi, je joue avec eux en pestant parce qu’ils sont toujours dessus, et que ça ne me laisse pas beaucoup de temps. Alors, je saute le pas, et je m’offre mon premier ordinateur… d’occasion.
Oui-bon, l’ordinateur, j’en avais également besoin pour mon travail. J’ai appris assez rapidement à me servir d’un traitement de texte et j’ai commencé à acheter des jeux pour moi. Je ne me suis pas précipitée sur les Sims, j’ai bien dû attendre un an. Les photos ne m’inspiraient pas, on aurait dit que les personnages étaient taillés à coup de hache. Je leur préférais César III ou les nouvelles versions de SimCity, ou encore la série des Ages of Empire. Jusqu’au jour où j’ai décidé d’essayer les Sims pour voir.
 
Essayer les Sims, c’est les adopter. Pour eux, je me suis fendue d’un nouvel ordinateur, de barrettes de mémoire supplémentaires au fur et à mesure qu’il y avait de nouveaux add-on. J’étais devenue Sims-addict, comme dit ma fille. Au tout début, comme beaucoup de joueurs, j’imagine, j’ai recréé ma petite famille, mes voisins, mes amis… mais j’ai rapidement considéré que c’était une erreur. La charge émotionnelle était trop forte. Alors, je me suis mise à créer des personnages inventés de toutes pièces. Et la plupart de ces personnages possédait un caractère bien trempé, pour ne pas dire un sale caractère. Je me demande à quoi ça tient !
Quand, par hasard ils n’avaient pas un sale caractère, ils étaient cousus de défauts ou de vices. J’en ai rempli tout un quartier, et je me suis mise à écrire des histoires rien que pour moi. Des histoires de quartier, où ça se jalousait, ça se trompait, ça cancannait… comme dans la vie, quoi !

A l’époque des Sims1, j’ai passé des heures et des heures à télécharger des éléments afin de réaliser des décors approchant la réalité. Mes retraités, par exemple, avaient des maisons de retraités avec des meubles ringards qui dataient de leur jeunesse, des nains de jardin que pépère fabriquait dans son atelier, des fleurs que mémère prenait le soin d’arroser, un chat, des poissons rouges et des canaris… Mais… j’y pense, j’ai des photos de cette période.

      

C’est le moment où j’ai commencé à écrire des chroniques sur le site officiel des Sims. Tout le monde ne parlait plus que des Sims2, que mon ordinateur ne pouvait pas encaisser, et moi, je débarquais avec mes Sims1. Toujours un train de retard ! Ah-mais, c’est que c’est dur à faire évoluer, les vieux !
 
N’empêche, je les aimais bien, mes petits Sims. Je m’étais promis d’y revenir, même après avoir goûté aux Sims2. Promesse d’ivrogne, dirait Roland… comment, vous ne connaissez pas Roland ? Roland et Germaine Pipelette, la commère et l’alcool... hic, ma première chronique. Tsst, tsst, quelle lacune ! Rassurez-vous, je ne vous referai pas l’histoire, surtout que je ne l’ai jamais finie. Mais si vous avez du temps à perdre, je me propose de vous faire une petite présentation de mes personnages de l’époque et des décors que je leur avais créés. En tous cas, ça me fera des souvenirs, parce que d’ici qu’un jour j’efface tous ces débuts de chroniques…
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20 février 2006 1 20 /02 /février /2006 17:29

Après Rigel, Farhid était devenu la nouvelle coqueluche des filles à l'université. A commencer par celles de la famille. Même la sage Schératan, en oubliait Antoine Joubert, son amoureux de la première heure. Mais lui aussi avait ses petites préférences. Et sa préférée, comme l'avait laissé entendre Algéna, c'était Dirah.

Je vous dis pas la déception quand il la surprit un jour dans les bras d'un inconnu. Inconnu ? pas pour Dirah.
De ce jour, il rumina une rancoeur nourrie de bouffées de haine pour sa trop jolie tante, à la cuisse hospitalière. Il faisait mine de l'ignorer mais ce n'était facile. Il fallait bien se supporter, ne serait-ce qu'au moment des repas. Et il faisait bien des efforts pour que la conversation s'oriente vers les études, et rien que les études, évitant les sujets qui fâchent.

-J'espère bien avoir les félicitations du doyen ce semestre encore, tu les as eues souvent, toi, les félicitations, Schératan ?
-A chaque fois ! Mon petit Farhid, depuis que Rigel nous a montré l'exemple tous ici, nous mettons un point d'honneur à le suivre. 20/20 à chaque examen, c'est plus qu'une coutume, presque une loi. D'ailleurs Max ne l'aurait pas voulu autrement.
Elle n'a pas tort ! Déjà que mon challenge piétine avec ces études à rallonges, si en plus, ils devaient faire figure de bourris !
Mais ? qu'est ce qui cocotte comme ça ? C'est quoi, ce qu'ils mangent  ? On dirait des sandwiches aux croûtes de fromage fondu.

Aaaattendez ! Je me souviens ! C'est de ça que Daniel avait parlé lors de sa dernière visite. Paraîtrait que Khali a voulu se reprogrammer en se fourrant la tête dans une bétonnière. Bien entendu, ça n'a pas marché, n'importe qui aurait pu lui dire. Tout ce qu'elle y a gagné, c'est une cervelle au ramolli. Elle ne carbure plus qu'au fromage fondu. Mais le pire... le pire, c'est qu'elle n'est contente que si tous les autres s'y mettent.

-Qu'est ce qu'on mange ?
C'est même plus la peine de poser la question, c'est fromage fondu au petit déj, fromage fondu le midi et re-fromage fondu le soir. En plus exigeante, la Khali, elle fait figure de spécialiste, et elle les tanne pour qu'eux aussi ne cuisinent plus que ça. Sa grande crainte : manger du mauvais fromage fondu. Ca lui coûterait 2 500 points... Quand même !
Ben moi, c'est ce que ça me coûterait d'en manger. Rien que l'odeur, ça me rappelle... tiens, C'est bien simple, Cécile !

 

 

Le fromage fondu, non seulement ça empeste mais c'est lourd à digérer. Cherchez pas pourquoi, tous les jours, on apprend que Fharid, Aïnitak, Dirah, Difda... enfin tous, souffrent d'une maladie inconnue. Je vois bien ce que c'est que cette maladie : Ils ont les boyaux collés. Y a qu'à Khali que ça profite, ce régime. Elle est la seule à se balader en platine, quand les autres balancent entre le rouge et l'orangé. Heureusement que le juteux de service a eu vent de l'affaire.

-Non-mais, qu'est ce qui m'a fichu ça ? Vous êtes gonflés comme des barriques. Ah, c'est beau ! Ah, c'est élégant !
Ils se sont tous regardé le ventre et Farhid, qui commençait à avoir des poignées d'amour s'est aussitôt mis à la gym. Mais Khali, vous croyez que ça la dérange ?
-Bof, l'élégance ! Du moment que je rentre encore dans ma tenue de bowling en jersey élastique, je la laisse aux autres. De toute façon, les garçons ne me regardent jamais.

 

 

Moui...je les comprends un peu, notez bien !

 

 

Mais quand même, elle exagère ! Quand elle ne s'empiffre pas de sandwiches au fromage, c'est chocolats à tour de bras. Une fière idée qu'il avait eue, le Rigel, d'apporter cette machine. Y en a des qui en profitent pour se faire un peu d'argent de poche, mais Khali, elle, c'est d'abord pour sa pomme. Elle passe plus de temps à manger qu'à produire.
Tiens, ça m'écoeure, je préfère rentrer à la maison.

Oh, quelle une bonne idée,j'ai eue là ! J'arrive pile poil pour l'anniversaire d'Ophélia.
Elle m'a l'air bien partie pour jouer les merveilles, attendons de voir le résultat du grandissement.

 

 

Mais… elle est affreuse ! Ah-ça, elle a bien grandi, mais pour devenir quoi ? Je vous le demande ? Comment donc a-t-elle fait son compte ? Si j’ai bonne mémoire, les parents étaient plutôt pas mal. Alors, c’est quoi cette petite horreur ? Elle a une tête de chipie-la-galette qui ressemblerait à… BENJAMIN !
Regardez le, s’il a l’air fier. On dirait que c’était son rêve de toujours, que ma descendance ait sa tête de pignouf. Il serait pas plus fier s’il était le père. Il m’énnnnerve !

 

 

Je suis complètement démoralisé. S’être donné tant de mal pendant 8 générations à trier les moins ratés des habitants de Vipercanyon pour que ma descendance soit belle, et aboutir à… une miniature de Benjamin ! Non-non, dites-moi que c’est un cauchemar ! Je vais me réveiller… je rêve !

 

 

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4 février 2006 6 04 /02 /février /2006 18:09

 


-Pour le moment, elle se maintient, mais elle a plutôt intérêt à faire attention avec les tombereaux de sandwiches au fromage fondu qu’elle s’envoie. L’informa Daniel.
C’est quoi cette histoire ?
Ooooh, il va encore falloir que j’aille faire un tour là-bas, je sens ça ! Dès qu’on leur laisse la bride sur le coup, ils inventent n’importe quoi.


-Mais assez parlé de Khali, c’est toi que je viens voir, ma toute belle, reprit Daniel. Dis-donc, dis-donc, tu es encore plus séduisante que dans mes souvenirs. Et pourtant, ce n’est pas faute d’avoir pensé à toi jour et nuit.
-Tu as pensé à moi tout le temps ? Oh, Daniel, ce que tu peux être chou ! s’écria Algéna en lui sautant au cou, faisant vaciller Daniel qui s’en tire bien. Il fait comme le roseau, il plie mais ne rompt pas.

 

Après lui avoir fait faire le tour du propriétaire dans les moindres recoins, Algéna l’invita à s’occuper de la propriétaire. C’est vrai qu’ils sont propriétaires maintenant, les Algéna, Fharid, Khali et compagnie. Du moins tant qu’on n’a pas encore décidé du nom de l’héritier. Pour le moment, y a pas photo, pour la 8ème génération, je vois qu’Ophélia. Quoique d’après ce que j’ai cru entendre, -et j’ai encore l’ouie assez fine- elle pourrait bien se trouver bientôt confrontée à de la concurrence.

En attendant, -ça pousse plus vite quand c’est ceux des autres, vous l’avez sans doute remarqué-, l’anniversaire d’Ophélia s’annonçait sans tambour mais avec trompettes et crécelles.
On allait enfin voir si elle ressemblait vraiment à Jeanne, la merveille. D’ailleurs, pour une fois, ma Jeanne a accepté de quitter son suaire pour assister à l’évènement.



C’était son portrait tout craché ! Même cheveux blonds, mêmes yeux verts, même nez mutin.
Je sentis les débris de mon cœur s’emballer dans sa cage thoracique.
Oui, on ne peut plus parler de poitrine, z’avez qu’à regarder la faucheuse, avec son suaire tout déchiré, pour avoir une idée de ce qui se cache sous mon polo de retraité.

Quand je pense qu’il y en a qui disent que c’est triste de vieillir. Ben moi, je réponds, vieillir c’est rien, à côté de se désagréger !

 Enfin, tout ça c’est encore rien à côté de ce qui nous attend à la fin de ce maudit challenge
Je suis sûr, sûr, vous m’entendez, que lorsqu’ils auront terminé et récoltés les lauriers de ma gloire, ils s’empresseront de vider le cimetière. Avec un peu de chance, on ira remplacer les Meunier dans leur palace pour macchabées. Dans le pire des cas, on disparaîtra simplement, comme ces paquets malodorants qu’on envoie dans la cuvette des WC. Se demande-t-on jamais ce qu’ils deviennent ?
Je sais pas ce qui me fait penser à ça !

 
Si en tant que bru, Karine s’était montrée en dessous de tout, en tant que mère, elle assurait. Puisque le père n’était pas là, c’est elle qui s’est chargée de l’éducation de la rescapée.
Ben-oui, imaginez que Rigel soit mort sans enfant, c’en était fini de la famille. Vous me direz… il y avait encore de quoi relever le flambeau. Oui-mais, moi, mon chouchou, mon préféré, c’était Rigel. J’ai bien le droit d’avoir mes petites préférences quand même !

Et donc, elle se chargea du pot, de la marche et du langage. Si avec ça la petite grandissait mal, ça ne serait toujours pas de sa faute. Elle avait du mérite quand même, conjuguant son métier assez prenant, -j’en sais quelque chose- et l’éducation de la bambine. Parce que les autres, le Benjamin et Algéna, fallait pas trop compter sur eux.

Benjamin était tout occupé à arrondir le bas de laine de la famille. C’est que ça coûte d’envoyer tout le monde à l’université maintenant. En plus de la corvée de cueillette de simflouzes qui lui revenait de droit, étant toujours couleur platine, il avait dégotté une presse à faux billets dans une usine désaffectée. Et il y passait des heures et des heures, le Benjamin. Puisqu’il avait fini de remplir ses barres de compétences, (pas trop tôt, mais quand même !) il fallait bien qu’il se rende utile à quelque chose, en dehors de ramener sa paye et de remplacer la nounou quand Karine partait travailler.


Quant à Algéna, elle était toujours fatiguée. Pas tant par une grossesse que j’avais bien flairée, que par les visites incessantes de cette vache de Claire. Si elle croyait s’en être débarrassée en quittant le campus, elle se trompait. Toujours délicieusement taquine, elle venait à présent faire ses farces à domicile et seule Algéna réussissait à lui faire entendre raison.


Une qu’on croyait morte, c’est Eliah, vous savez, la fille d’Alpherg.
A l’université, impossible de la croiser, à croire qu’elle séchait les cours. C’était quasiment l’arlésienne. Tous ses cousins en avaient entendu parler sans jamais la rencontrer. Heureusement que chez ses tantes, on avait conservé son numéro de téléphone pour essayer de la contacter. Mais jusqu’à présent, elles s’étaient toujours heurtées au répondeur.
Enfin bref, tout ça pour dire que si elle se faisait rare là où on l’attendait, elle avait trouvé le moyen de débarquer là où on n’en avait rien à faire. Elle adorait sa petite cousine et venait la voir régulièrement.


Les naissances, à la maison, c’est devenu d’une banalité ! Et celle du bébé d’Algéna, fruit de sa relation illégitime avec l’obsédé des altères ne déplaça pas la foule.
Je jetai un œil, juste pour voir si le bébé se présentait bien. A première vue, rien à redire, c’était encore une belle petite fille. Restait plus qu’à croiser les phalanges pour qu’elle n’ait pas hérité du nez tout cabossé de son père.


M’enfin, c’est pas parce que moi, des naissances j’en suis revenu que tout le monde est blasé, loin de là. Karine était toute excitée. Il faut dire qu’elle s’entendait plutôt bien avec Algéna qu’elle considérait davantage comme une belle-sœur qu’une vague cousine.
C’était la seule avec laquelle elle pouvait parler de Rigel, et entretenir sa mémoire.
-Comment tu vas l’appeler ?
Grande question ! C’est pas qu’ils soient à court d’imagination, mais quand même ! Difficile de trouver un prénom original depuis le temps qu’ils avaient épluchées toutes les étoiles. Mais Algéna avait eu le temps d’y songer pendant sa grossesse.
-Copélia, annonça-t-elle.
Ophélia, Copélia… on ne peut pas dire qu’elle brillait par excès d'originalité. Mais, si je me souviens bien de Jean-Pierre, on avait échappé à Marie-Louise ou à Ginette, et rien que ça, c’était déjà une bonne chose.

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6 janvier 2006 5 06 /01 /janvier /2006 15:03

Carnet rose chez les Dubagne, Ophélie, 1ère représentante de la 8ème génération fait son apparition dans des circonstances par ailleurs dramatiques. Ne manquez pas ce nouvel épisode de votre feuilleton interminable : Ma Dubagne et le legacy challenge.

Vous trouverez la mise à jour en page 2 de la rubrique, j'ai laissé celle d'hier en première page pour les retardataires. Bonne lecture !

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4 janvier 2006 3 04 /01 /janvier /2006 18:10

Ca y est, c'est fait, mes Krétins ont à présent leur propre blog pour faire de la place à Max Dubagne et sa descendance. Vous les trouverez ici :

http://fonsine72.canalblog.com/

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7 décembre 2005 3 07 /12 /décembre /2005 12:50

Après une série de bugs, j'ai enfin pu reprendre le fil de mes histoires. Et donc, pour aujourd'hui, une mise à jour chez Max Dubagne. Rigel saute le pas et entre à l'université.


19. Ah l'université.

Pendant ce temps, les Krétins, s'appêtent à passer un beau dimanche ensoleillé.


14. Le beau dimanche

Et pour faire bonne mesure, une nouvelle histoire dans la catégorie Autres concours. Celle de Matthias Grantorgueil aux prises avec trois bambins, d'après un challenge que j'ai découvert sur le site d'Esse :
le challenge du parent célibataire. Vous pourrez lire sa traduction des règles sur son site.


1. Trois bébés sur les bras.

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24 novembre 2005 4 24 /11 /novembre /2005 02:47

1ère Génération :                       Max Dubagne épouse Jeanne Marques une townie

2ème Génération :     Séphora, Hélios, Orion, Galatée, Mirach, Apollon, Hermione.
Seuls restent en jeu
Séphora qui épouse Romuald, l'homme de ménage, dont elle a deux fils : Hermès et Jean-Pierre et Paco, le facteur dont elle a deux filles : Kalliste et Sapho.
Galatée qui épouse Jacques, le désinsectiseur dont elle a un fils : Sirius
Hélios, qui épouse (pas) Cécile la jardinière dont il a un fils Alioth et Célia la Barmaid dont il a une fille, Mahlaut.

3ème génération : Hermes, Jean-Pierre,Sirius, Alioth et Mahlaut.
Sapho, Alioth, Hermes et Jean-Pierre qui a épousé Lucie, la bonne dont il a eu un fils : Rahel, quittent le challenge.
Sirius meurt électrocuté, fantôme jaune qui fait le ménage.

Seuls restent en jeu : Kalliste et Mahlaut.

4ème génération : Zaniath, Aleph, Ephraïm et Alienah, Aïnitak, Mintaka, Dirah, Sheratan et Alpherg.

Kalliste et Jacques le pompier ont une fille : Zaniath. Avec Boris, le directeur, elle a un fils : Aleph, et avec Jacques Sim le réparateur un autre fils : Ephraïm.
Mahlaut, sur le tard a des sextuplés avec ce même réparateur : Alienah, Aïnitak, Mintaka, Dirah, Sheratan et Alpherg.
Restent en jeu : Zaniath qui a une fille avec Romuald le pizzaölo : Difda et un garçon avec Michel, le livreur d'épicerie : Mizar. Ephraïm qui se fait enlever et a une alien : Luzz et qui épouse Erwan, un pompier, dont il a une fille : Sélène et Alpherg qui épouse Marie-Noëlle, une pizzaïola dont il a une fille Eliah.

Les filles de Mahlaut entrent à l'université.

5ème génération : Difda, Mizar, Luz, Sélène, Eliah.
Mizar meurt de faim et donne un fantôme transparent.
Eliah entre à l'université ainsi que Difda qui était partie vivre chez sa grand mère Kalliste.
Luz, quitte le challenge.
Sélène épouse Samson, le désinsectiseur, ils ont deux enfants : Nathel et Zosma.

6ème génération :  Nathel et Zosma
Nathel épouse la bonne, Kérine. Ils ont deux fils : Mérak et Rigel.
Zosma a une aventure avec le comte Jourdan, vampire et ils ont des sextuplés (encore) : Kaphir, Zeneb, Farhid, Phyllis, Khali et Algéna.

Mérak meurt de peur et donne un fantôme rose.

7ème génération : Rigel et Kaphir, Zeneb, Farhid, Phyllis, Khali et Algéna.

 


 

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